- GONZALEZ José
Nous recherchons donc des photos d’archives familiales sur l’Aragon dans le but de réaliser à Saragosse une exposition de rue, après agrandissement, par les soins de l’Institut Français de Saragosse (qui est une institution dépendant de l’Ambassade de France à Madrid).
Ces photos ne seront pas empruntées mais seulement scannées sur place, chez leur propriétaire et bien entendu exposées à Saragosse sous réserve de leur autorisation.
Vous trouverez ci-dessous un descriptif de ce que nous recherchons pour rendre service à l’Institut Français de Saragosse.
Antoine Pélissié du Rausas
Vice Président de l’Association Aragon Midi Pyrénées
06 88 67 84 08 - [email protected]
Projet d’Exposition Photos pour célébrer les 91 ans de l’ Institut Français de Saragosse
L’Institut Français de Saragosse désire fêter l’an prochain, par une manifestation publique, le 91ème anniversaire de sa création.
Son nouveau directeur, Christian Combaz, nouvellement arrivé, porte cette idée avec enthousiasme et imagination en mettant en avant l’objet « Photos ». Il a exposé son projet à notre Association Aragon Midi Pyrénées (ARAMIP) au cours d’une réunion à Saragosse le 27 novembre dernier.
Il s’agit de présenter 91 Photos, puisées dans des fonds de photographies en noir et blanc, provenant de familles et de photographes voyageurs, d’archives municipales et d’institutions religieuses (liées par exemple à des pèlerinages à la Virgendel Pilar de Zaragoza), etc.
Des photographies prises en Aragon par des habitants de Midi-Pyrénées (français ou espagnols), après la première guerre mondiale, au cours des années 20-30 et même après. Autant de témoignages inédits, à caractère culturel sur la vie en Aragon au cours de cette période.
Les délais sont courts :
- Evaluation de la ressource ; identification des fonds disponibles, courant décembre
- Début janvier : décision quant à la faisabilité du projet
- Sélection des photos et scan au cours du printemps 2010
- Exposition à Saragosse fin juin (manifestation possible dans le cadre de la semaine « Saragosse accueille Toulouse » début juillet)
- LUZI Federica
L’association «Avis del Barri en defensa de los inquilinos de Bon Pastor», engagée depuis de nombreuses années dans la défense des locataires et dans la dynamisation culturelle du quartier des maisons populaires de Bon Pastor, où est actuellement en cours un processus problématique de démolition complète, a obtenu par la Generalitat de Catalunya les financements nécessaires pour la récupération de certains aspects de l’histoire et de l’identité du quartier. A travers ses contacts avec une série de chercheurs depuis des années actifs dans le quartier de «casas Barates», cette association a élaboré le projet «Represàlies i resistències a les Cases Barates de Bon Pastor», financé par Memorial Democratic de Catalunya. Les «casas baratas», 784 petites habitations à un étage construites en 1929 au bord du fleuve Besòs, en marge de la zone métropolitaine de Barcelone, ont été, et ce depuis leur fondation, un quartier d’immigrés du sud de l’Espagne en majorité anarchosyndicalistes. Des colonnes de miliciens sont parties des «casas baratas» pendant la guerre civile. Les usines collectivisées produisaient des armes pour la République, c’est la raison pour laquelle le quartier a été violemment bombardé par l’aviation fasciste. Avec l’entrée de l’armée franquiste, un nombre indéterminé de familles et d’individus ont été forcés à l’exil : les sources orales nous parlent de camions entiers en route vers la frontière française. La mémoire de ces exilés, comme celle des fusillés et des autres victimes des représailles franquistes est encore loin d’être récupérée complètement. Le projet «Represàlies i resistències», qui sera probablement réalisé jusqu’en 2011, se propose d’offrir une contribution à la récupération de cette mémoire, patrimoine des secteurs les plus marginaux et périphériques de la ville de Barcelone, témoignage d’un passé dont l’importance s’étend jusque dans le présent. Nous cherchons des espagnols exilés en France qui venaient des «casas baratas». Si vous voulez nous contacter vous pouvez nous écrire à cette adresse mail :[email protected]
- GARCIA Maite - E. PARES Luis
Pour projet : Cartas a María
Cherchent toutes informations sur M. GARCIA LEÓN Cayetano né le 23 novembre 1902 à Gergal (Almería), et décédé le 2 décembre 1949 (Le Bouscat). Il émigre à Barcelone, au début des années 30 et y travail comme mécanicien. En 1939, s’exile en France, à partir du 15 décembre commence à travailler à Bordeaux.
D’après une lettre, son frère aurait été dans une usine d’avion comme mécanicien ajusteur. Le 24 janvier 1940,encore d’après une lettre, il entre à l’hôpital car il avait mal au côté droit, et on l’opère où n l’avait déjà opéré à l’époque, on pense que c’était l’appendicite.Ses coordonnées
- au 10 juin 1940 : Mn García León, 22 rue de la Bernage – La Bastida – Bordeaux
- fin juin 1940 : Mn García León, 16 rue Lafontaine – Bordeaux
- mars 1943 : 62, av. de Tivoli – Le Bouscat (Bordeaux)
- au 31 mai 1943 : Cayetano, C.T. Lager Weddigen, feldpost 45368
A partir du 1er avril 1946 il travail en J. Lebegue – travail mécanique pour le bois : 2, rue Albert Mallet – Le Bouscat (Bordeaux).
En 1948 il réside au 195-197 av. de l’Ermitage – Le Bouscat (Bordeaux)
- BRAVO Pascale
Je prépare une thèse d’Histoire sur les réfugiés espagnols arrivés dans la Loire (42), suite à la Retirada, à St Etienne, Firminy, St Chamond, Rive-de-Gier ou Roche-la-Molière… Je travaille à partir des archives départementales mais, recherche des témoignages soient des réfugiés eux-mêmes soient des fils et filles des républicains espagnols. En effet, mes travaux porteront aussi sur la mémoire de cet exil espagnol, dans un département éloigné des Pyrénées. Les témoignages de personnes ayant vécu qu’une dizaine d’année dans la région m’intéressent également, ainsi que tout document concernant la Loire (photos, journaux….).
Par avance, je vous remercie de toute l’aide, quelque soit l’information, que vous allez m’apporter.
Pascale Bravo, petite-fille de républicain espagnol.
Contact: [email protected]
- BELLENGER Aurélie
Petite-fille d'un Républicain Espagnol, Antolino Cons-Beltran originaire de Bujaraloz (près de Saragosse), je suis depuis plusieurs semaines en écriture d'un livre sur cet héritage de valeurs grâce à l'histoire orale et écrite qu'il nous a laissé. Je possède des lettres originales, écrites en Espagnol, qui racontent le quotidien d'un homme, de lui-même, dans cette période où il a fuit le Franquisme, s'est retrouvé par la suite enrôlé en France, avant de subir une rafle vers un camp de concentration duquel il ressortira incroyablement vivant.
Je voudrai étoffer cet écrit avec des témoignages d'enfants de ces personnes, de petits-enfants, de proches, bref, de gens qui comme moi se sentent marqués au fer rouge d'une histoire qu'ils n'ont cependant pas vécue. J'ai découvert votre association pendant mon travail de recherche et je pense que vous êtes les mieux placés pour m'aider dans ma quête. Si des gens de votre entourage associatif désirent m'aider, participer à mon projet qui a pour but de rassembler, réunir un morceau de ma famille voire les lier avec d'autres, surtout qu'ils n'hésitent pas à me contacter :
Mlle BELLENGER Aurélie
4, Rue Saint Marc n°403
29200 BREST
[email protected]
- Les archives municipales d'Agde
L'objectif étant de constituer une base de données recensant le plus grand nombre de ces réfugiés. Les témoignages ainsi recueillis, seront étudiés par les classes de collégiens et lycéens de la ville participant au projet.
Contact :
Irène Dauphin 0467946084 [email protected]
Virginie Gascon 0467946082 [email protected]
Adresse Archives municipales
Hôtel de Ville
Rue Alsace Lorraine
CS 20007
34306 Agde cedex